Sans sourciller, Macron vilipende les déclarations de Musk, accusé d’ingérence dans la politique européenne, prouvant par là même – mais on s’en était déjà aperçu – qu’il n’a même pas conscience de la portée de ce qu’il raconte et encore moins de l’énormité de son propos. Car l’ingérence de l’Amérique dans la politique européenne est bien loin de Musk et de ses quelques déclarations tout à fait conformes à une réalité que Jupiter ne veut pas voir, même s’il la prend en pleine figure.
Non, l’ingérence américaine est là depuis 1945 et sa présence est parfaitement visible, palpable et même oppressante, à plus d’un titre. Coca-Cola, Mac-Donald, Hollywood, Netflix, Google, Microsoft… voilà pour la partie « culturelle », mais peut sembler parfaitement anecdotique, au vu de la partie bien plus sombre de cette influence américaine. Mais étrangement, nos fleurons industriels partent aussi pour les Etats-Unis, avec la bénédiction de Macron, agent ou pas des Américains, mais qui apparaît toujours comme plutôt dévoué à leur égard.
De l’action visible à l’action sombre
Microsoft et ses filiales gèrent notre santé, nos armes, nos bulletins de salaires, nos ministères, quasiment toute notre informatique, qui entre dans les cervelles des Français dès leur entrée à la maternelle et même avant, quand des petits qui savent à peine marcher sont gavés de contenus américains sur leurs écrans quotidiens. Mais ce n’est pas la politique européenne… venons y. Le cabinet Mac-Kinsey, en lien étroit avec le renseignement américain, règle les campagnes électorales dans la quasi-totalité des pays européens, où sont au travail, aux frais des contribuables en plus, des « conseillers » Mac-Kinsey, tous formatés dans le même moule américanophile. Les investissements américains diffusent jusque dans les quartiers sensibles, au prétexte de dépistage de talents. Ces mêmes Mac-Kinsey ont sans doute en partie inventé et en tout cas mené les narratifs carbone, Ukraine, Covid, à nos frais encore une fois, se sont substitués à nos hauts fonctionnaires, à nos cadres et à nos lois. Ces Américains nous ont poussé dans les sanctions à la Russie, qui nous ont ruiné, dans les achats de vaccins, qui ont été prétexte à des transferts massifs d’argent public vers des intérêts privés, avec les dégâts sur la santé que l’on commence tout juste à oser regarder. Ont orchestré la fable carbone, élément qui n’est pas un polluant et dont la quantité d’origine humaine est négligeable au regard de la planète. Cette fable justifie la mis en place d’une dictature progressive de l’appauvrissement. On regrette l’Amérique de Presley, de Steve Mac-Queen, de Maryline Monroe, des Corvette et des Mustang, qui nous a fait rêver.
Mais il y a encore plus noir. Soros l’Européen désormais newyorkais, son petit fils, Alexander, sont reçus, on ne sait trop à quel titre, régulièrement, par les présidents européens, à commencer par notre Macron… pour quoi faire ? Eux qui déversent des milliards en forme de déstabilisation. L’Américain Bill Gates également, le père de Microsoft, homme d’affaires, est un grand habitué des présidents européens, se retrouve dans les sommets des chefs d’Etats… Il y fait quoi ? Que pèse sa parole ? L’OMS, financée en partie par Gates, a orchestré le spectacle Covid, l’expérience ingénierie sociale Covid, devrait-on dire, et se propose de gérer les prochaines pandémies et se propose même de nous obliger à nous soumettre à ses prochaines gestions de pandémies. L’OTAN également, qui justifie toutes ses guerres, tout en désignant celles des autres pays à la vindicte, qui nous oblige à acheter des armes américaines, à adhérer aux commandements américains, à adopter les logiciels de gestion américains, au prétexte d’interopérabilité militaire des armées de l’OTAN… ce n’est pas de l’ingérence ? Parlons encore des fonds de pension américains, dont le plus connu, Black-Rock, fait la pluie et le beau temps sur nos groupes européens et Français.
Et il y a sans doute encore plus sombre : expériences d’ingénierie climatique, éliminations ciblées, explosions de gazoducs, rupture de câbles sous-marins, attentats déguisés… pour lesquels il n’y a que des faisceaux de présomptions, assez solides tout de même. Mais non, l’ingérence américaine se résume à quelques déclarations de Musk. Macron tente de cacher la forêt avec un brin d’herbe.
Cela va-t-il finir ?
Mais tout cela s’affole. Trump veut sortir de l’OTAN, Musk laisse plus de champ aux internautes pour s’exprimer sur Twitter-X et même Zuckerberg, vient de déclarer qu’il allait revoir le système de modération de Facebook, dont il explique qu’il est devenu une censure étatique qui ne dit pas son nom. En fin homme d’affaires, il sent le vent tourner et sous-entend ni plus ni moins que finalement, les plus grands pourvoyeurs de fausses nouvelles ont été les médias mainstream qui, tout en mentant effrontément, qualifient les opinions divergentes de « désinformation ». Un exemple ? « La forme moins grave » du Covid. Il est scientifiquement impossible de savoir comment un patient, une fois vacciné, aurait réagi à la maladie s’il ne l’avait pas été, ce n’est pas très difficile à comprendre. Et pourtant, tous les médias « officiels » ont répété cette fable en boucle. Un autre exemple ? « La Russie à genoux » : qui y croit encore ? Encore un ? « Les Maldives sous les eaux en 2020 », dixit Al Gore, le chouchou des médias bien pensants.
En réalité, les réseaux sociaux ont permis aux gens qui réfléchissent et analysent de pouvoir s’exprimer, contrairement à une époque révolue, où seuls les narratifs contrôlés des médias contrôlés avaient pignon sur rue. Et nos petits censeurs européens, les Macron, Breton, VDL et autres leaders d’opinions préfabriqués, de paniquer devant la vague qui arrive, conscients qu’ils n’ont déjà plus l’exclusivité du discours et de la méthode…
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Groupe Telegram du RPF
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
Vous avez raison sur le fond, mais pas sur la forme. Le peuple américain n’a rien à voir la-dedans. Jean-Loup Ysambert fait remonter à 1942 la volonté de ce qui est appelé l’Etat profond américain et qui est en fait un consortium entre la finance mondialiste, les industriel qu’elle contrôle et les médias qu’elle posséde.
Là est la réalité du pouvoir qui s’exerce sur l’administration américaine à l’insu (jusqu’à maintenant), de l’immense majorité du peuple américain. Cet Etat profond est devenu ensuite « supranational » au travers d’un certain nombre de structures et de « think tank » chargés de repèrer ce que vous appelez à juste titre des agents d’influence. Macron est simplement l’un d’entre eux