LES CHAROGNARDS.
(Poème très vaguement Inspiré par « La Montagne » de Jean Ferrat).
Ils manifestaient à Paris,
Tous les suppôts de la chienlit,
Ces gauchistes des beaux quartiers.
Depuis longtemps, ils en rêvaient
De pouvoir déverser leur haine,
Sur le cadavre de Le Pen.
Ils ont fêté en picolant,
En poussant des cris indécents,
La mort d’un soi-disant fasciste,
Et cette vérole gauchiste
A pu, en toute impunité,
S’acharner sur un macchabée.
Refrain : Jadis, notre France était belle,
Mais qui pouvait alors prédire
Que ces gauchos en ribambelle
S’acharneraient à la détruire ?
Et en les entendant hurler,
En les regardant picoler,
Je me suis dit « Quelle misère ! »,
Ce pays dont j’étais si fier
Est devenu un lupanar
Qui tolère ces charognards.
Ils prétendent nous imposer
De faire preuve d’humanité
A l’égard des immigrés.
Mais ils osent, sans dignité,
Fêter le trépas de celui
Qui n’avait pour eux que mépris.
Refrain : Pourtant, comme on aimait la France !
Qui donc pouvait imaginer
Qu’elle se livrerait sans défense,
À des ordures fanatisées ?
Ils nous parlent de la charité,
Cherchent à nous culpabiliser,
Ils attendent de nous des remords.
Ils imposent le métissage,
Le « vivre ensemble », le brassage :
Français de souche, on veut ta mort !
Or nous n’avons aucun devoir,
Aucune dette envers les Noirs,
Fussent-ils d’anciens colonisés.
Ils ont voulu l’indépendance.
Et beaucoup détestent la France,
Qu’ils assument… leur liberté.
Refrain : Pourtant, oui je suis nostalgique
De cette France, d’un passé,
Souvent glorieux, parfois épique,
Qui avait une dignité.
Cédric de Valfrancisque.
11/01/2025
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