Combien de temps faudra t’il encore attendre pour mettre un terme à la submersion migratoire ?
Depuis hier, la vie médiatico-politique française tourne autour de la guerre picrocholine déclenchée par l’ « horrible » remarque d’un Premier Ministre (pourtant d’ordinaire bien timide dans ses bégaiements) évoquant la « submersion migratoire »… Il eut beau ensuite s’expliquer, s’excuser, recadrant cette remarque malheureuse sur le problème de Mayote, s’emmêlant ensuite dans des explications confuses pour préciser finalement que c’est une partie de la France qui vit un « sentiment » de submersion migratoire…
Mieux vaut en rire vite, pour ne pas en pleurer.
Le chœur des vierges LFIstes a, sans surprise, lancé l’assaut, rapidement repris par toutes les bonnes âmes de l’islamo-gauchisme qu’on devrait renommer La France Islamiste, ou La France Immigrationniste, tant est devenue évidente la stratégie de son « Lider Maximo » de favoriser l’invasion migratoire (tout en la niant) afin de réaliser son sinistre projet de déstabilisation de la France.
Projet qu’il qualifie de « créolisation »…
C’est joli, c’est coloré, ensoleillé, romantique, d’un joli bleu caraïbéen, et placé sous la bannière politique du poète communiste Aimé Césaire.
La présidente de l’Assemblée Nationale, Yaël Braun Pivet elle-même, y a été de sa petite remarque de maîtresse d’école en rappelant qu’ « elle n’aurait pas dit ça » ! Un méchant coup de règle sur les doigts du chefaillon du Gouvernement.
Combien de mois, d’années, de quinquennats, faudra t’il encore attendre pour que le personnel politique français reconnaisse enfin la réalité de cette invasion, du Grand Remplacement, de l’immigration sauvage et incontrôlée, et pour finir de la subversion migratoire ???
Le problème, pour les destructeurs de la France, est que le peuple, lui, a pris conscience il y a déjà longtemps de cette menace existentielle.
De Marchais en 1981 (« il faut stopper l’immigration officielle et clandestine ») à Chirac en 1991 (évoquant avec délicatesse mais objectivité « le bruit et les odeurs »), sans oublier Rocard en 1989, rappelant que « la France ne peut accueillir tout le malheur du monde », tous avaient compris…
Des dirigeants de premier plan, depuis plus de 30 ans, étaient donc bel et bien conscients de cette menace pour la France et avaient clairement exprimé leurs craintes…
Pourtant, cette menace a continué de prospérer, d’enfler, jusqu’à se répandre aujourd’hui dans la France entière, non seulement dans les grandes métropoles mais jusque dans les villes moyennes et les banlieues. Le tout, soutenu par l’explosion du trafic de stupéfiants, commerce dans lequel se sont engouffrés bon nombre d’adolescents, de plus en plus jeunes, de plus en plus violents, de cette vague migratoire incontrôlée. Instaurant un climat criminogène qu’on constate hélas de plus en plus dramatiquement chaque jour.
Et pourtant, une partie de la « classe » politique persiste à nier ce drame qui continue d’enfler. Jusqu’à remettre en question ce (fragile) équilibre auquel était parvenu le malheureux Bayrou pour échapper provisoirement à la censure de son gouvernement.
Et pour finir, un grand bravo au PS qui menace à cette heure de faire exploser la frêle coalition qui aurait pu permettre de voter le budget 2025…
Triste France. Mais en face, il y a le peuple. Et dans un sondage récent, le peuple lui aussi s’inquiète et admet (65 % des personnes interrogées) la pertinence et la justesse de l’expression « submersion migratoire » !
Que se passe t’il donc, dans notre pays ? Simple laxisme ou ferme volonté de nuire ? Toujours est-il que le processus décisionnel politique semble brisé.
Quel que soit le problème à traiter, rappelons les 4 phases de l’action politique nécessaires à tout processus de décision, ceci restant valable pour toute entreprise humaine :
- Phase 1 : Observation attentive du problème
- Phase 2 : Analyse objective des faits
- Phase 3 : Recherche de(s) solution(s)
- Phase 4 : Décision, action et contrôle
Il semble bien qu’en France, le processus ait été stoppé en phases 1 et 2 ! Et ce depuis des décennies ! Soit on réfute ou on récuse les faits, soit on fait semblant de les analyser, mais pour mieux les minimiser.
Mais on cherche rarement les solutions et quand on les énonce, on est accusé de fascistes réactionnaires et autres noms d’oiseaux. Dirigeants, élus politiques et médias (à de rares exceptions près) sont ainsi plutôt enclins à chercher de bonnes raisons… de ne rien faire.
On ne passe donc jamais à la phase de décision, et encore moins à l’action qui en découle !
Contre-exemple de cette sale manie, les USA viennent d’élire un président qui a compris tout ça.
Un président qui décide après avoir admis que la phase de réflexion était terminée.
Car il faut reconnaître que, de ce côté de l’Atlantique comme de l’autre, on a déjà abondamment réfléchi à la réalité, aux causes et aux conséquences de la submersion migratoire.
Le peuple français a d’ailleurs compris lui aussi et semble prêt à passer à l’action !
Selon un sondage Elabe / BFMTV publié ce mercredi 29 janvier, 67% des Français jugent qu’il y a bien une « submersion migratoire » en France.
Il ne reste plus qu’à reconnaitre et décider que les 3 phases préalables ont été largement explorées et qu’il faut maintenant passer à l’action. Comme a su le faire le président Trump, 24 h après son investiture (*).
L’urgence est là. Et qu’on n’oppose pas les freins législatifs, juridiques, européens et autres prétextes…
L’État français dispose de moyens importants pour gérer la France (article 16, décrets, arrêtés ministériels, etc…).
Il ne manque que la volonté d’agir pour redresser le pays !
Marc Le Stahler
29/1/2025
* Annonçant même mercredi soir 29 janvier sa volonté d’utiliser la prison américaine de Guantanamo à Cuba pour y détenir les migrants illégaux les plus dangereux ! (On va peut être finir aussi de notre côté par évoquer la réouverture des Iles du Salut !).
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