Il y a désormais deux
catégories de Français
dans ce pays déchiré.
Il y a les Français qui assument d’avoir des devoirs en contrepartie de leurs droits, et ceux qui estiment n’avoir aucune obligation dans notre société.
Il y a des idéologues rigides et des esprits pragmatiques qui s’adaptent au mouvement.
Il y a les réalistes responsables et les déconnectés dangereux.
Il y a des patriotes fidèles et des mondialistes aveugles.
Il y a des européistes béats et des souverainistes affirmés.
Il y a ceux qui servent la France et ceux qui la trahissent.
Il y a ceux qui résistent et ceux qui se soumettent.
Il y a ceux qui se battent pour la France et ceux qui la sabotent.
Il y a ceux qui espèrent sauver le pays et ceux qui capitulent.
Il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient plus.
Il y a des lucides et des inconscients.
Il y a ceux qui aiment la France et ceux qui la détestent.
Il y a ceux qui partagent nos valeurs et ceux qui les rejettent.
Il y a ceux qui respectent nos lois et ceux qui les piétinent.
Il y a ceux qui veulent faire société et ceux qui s’enferment dans le communautarisme.
Il y a ceux qui se défoncent au travail et ceux qui veulent vivre d’assistances.
Il y a des gens pacifiques et des individus violents.
Il y a ceux qui sont prêts à se sacrifier pour la France et ceux qui n’y pensent pas.
Il y a ceux qui ont l’audace de prendre des risques et ceux qui restent aux abris.
Il y a ceux qui votent encore et ceux qui ne rentrent plus dans les isoloirs.
Il y a ceux qui croient dans la politique et ceux qui estiment qu’elle ne sert plus à rien.
Il y a ceux qui agissent et ceux qui restent immobiles.
Il y a ceux qui brandissent notre drapeau tricolore et ceux qui le brûlent.
Il y a ceux qui défendent notre cause nationale et ceux qui servent l’étranger.
Il y a les dépossédés et les conquérants.
Il y a ceux qui vous diront que j’ai raison et ceux qui affirmeront que j’ai tort.
Il y a donc bien deux France face à face.
Le « vivre ensemble » est une utopie dans ce pays. Car nous sommes très éloignés aujourd’hui de la République parfaite de Platon.
La vision « utopique » décrit une société qui se veut normalement parfaite. La vision « dystopique » est l’exact opposé : elle décrit une société imaginaire aussi déshumanisante et désagréable que possible.
Philippe de Villiers :
« Oui il y a de quoi trembler. Nous sommes pris dans un étau entre le wokisme qui s’emploie à nous déculturer et l’islamisme qui s’emploie à nous reculturer. »
Je vous laisse libre de juger de l’état réel de notre société. Moi, j’ai mon opinion. Vous en connaissez les contours.
Yann Bizien
09/02/2025
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